UN ANNIVERSAIRE PAS COMME LES AUTRES
Chapitre 1
Je suis invité à l'anniversaire d'Alexandre (camarade de classe).
Alexandre me montre sa chambre en attendant les autres :
Alexandre a une grande chambre. Ses murs sont recouverts de ballon car c'est son anniversaire. Il a un lit mezzanine en bois ; en dessous son bureau où traînent de part et d'autre tous ses cahiers, livres, stylos et bien sûr ce que préfère Alexandre, son ordinateur qui trône au milieu de tous ses objets d'écolier.
Au côté opposé de la fenêtre qui donne sur la place de l'église, une magnifique armoire dans laquelle tous ses jeux d'ordinateur sont rangés méticuleusement et précieusement.
Enfin, face au bureau épinglé au mur, un gigantesque poster de Napoléon sur l'île d'Elbe. Sûrement un poster qu'il a obtenu grâce à l'achat d'Age of Empire…
Alexandre : tu crois vraiment que Victor et Hugo vont arriver ?
Georges : sinon on peut commencer à ouvrir les cadeaux.
Georges veut absolument ouvrir les cadeaux car dès que l'anniversaire d'Alexandre sera fini, il aura droit à un paquet de bonbons.
Moi (Edgar) : Il vont arriver ne t'inquiète pas.
Et tout à coup la sonnette retenti " dring dring " Alexandre se dépêche d'ouvrir à Victor et Hugo.
Alexandre crie : cool, cool, vous venez, nous allons ouvrir mes cadeaux.
La maman d'Alexandre : commençons par Victor, ensuite Hugo puis Georges et enfin Edgar.
Alexandre : Oh ! Merci Victor ; un robot à énergie solaire. Maintenant, Hugo, alors, une veste de chimie avec une boîte de chimie. Passons à Georges, quelle bonne idée de m'avoir offert un livre sur le corps humain. Et le dernier, Edgar, vas-y donne s'il te plait, le jeu " Age of empire ". Allons l'essayer.
Chapitre 2
Edgar : tu est sûr tu ne veux pas attendre ?
Georges : oui, on pourrait manger des bonbons.
Victor : arrête avec tes bonbons tu commences vraiment à m'énerver.
Hugo : c'est l'anniversaire d'Alexandre c'est lui qui décide.
Georges : Ok, mais moi en attendant que le jeux s'installe je vais prendre un bonbon.
Alexandre : C'est parti.
Edgar : Georges vient vite pour y jouer.
Georges : Oui d'accord.
Victor : Maintenant que nous sommes tous réunis, allons-y !
Alexandre : J'appuie.
Tout d'un coup nous fûmes tous télé portés, sans savoir où nous nous dirigions.
Alexandre : Où sommes-nous ? Dit-il en pleurant.
Hugo : Que se passe t-il ?
Edgar : Oh ! Regardez là bas un homme est vêtu de noir.
Georges est le plus gourmand. C'est un petit bonhomme brun, vif comme l'éclair et toujours deuxième de classe. Il est habillé d'une chemise bleue et d'un pantalon beige.
Georges : Mais c'est Napoléon !
Victor : Cela signifie que nous nous sommes retrouvés dans le passé.
Napoléon, homme âgé de 35 ans, aux yeux marron et aux cheveux bruns. Il ne quitte jamais son chapeau noir
Alexandre : Je suis sûr que Napoléon a besoin d'aide !
Chapitre 3
Edgar : Attendons que les gardes partent pour prévenir Napoléon.
Alexandre : pour le prévenir de quoi ?
Georges : Et bien ! Des batailles à venir, surtout, il faut qu'il revienne?
Victor : Il faut qu'il revienne d'où ?
Hugo : A Paris ! Triple buse
Edgar : Bon ! Maintenant il faut savoir dans combien de temps les gardes partent...
Georges : Alors, écoutez-moi ! Pour rentrer à Paris, nous allons profiter du temps où les gardes sont sur le côté opposé de l'île.
Puis nous nous déguiserons avec leurs uniformes entreposés dans la cabine à ma droite et ainsi dissimulé nous pourrons nous évader : Direction Paris
Alexandre : bravo monsieur 1er de la classe
Georges ouvre la porte de la cabine et remarque
Quelque chose.
Georges : Il n'y a que cinq vêtements
Victor : Pile assez
Alexandre : mais ce sont des anciens uniformes ; ils datent de l'époque de Louis XVI.
Chapitre 4
L'île d'Elbe est une île près de l'Italie. Sa célèbre prison est recouverte de goélands. Tous les 100 mètres nous pouvons apercevoir des minuscules cabanons dans lesquels se trouvent rangés méticuleusement, les uniformes. De nombreux soldats sont sur cette île pour veiller à ce que personnes s'échapper.
Alexandre : il faut prendre contact avec Napoléon
Georges : mais a quelle heures sort-il en promenade ?
Victor : il peut sortir a tout moment car ils n'ont pas de montre.
Edgar : les voilà !
Hugo : chut, sois plus discret !
Edgar : pardon, vous êtes tous en uniformes ?
Ils crièrent " prêt "
Et nous marchâmes un quart d'heure pour arriver au pied de Napoléon
Bonjour Majesté, nous sommes venus pour vous sortir d'ici, dit Georges timidement
Edgar : C'est-à-dire de vous évader
Hugo : Bien évidemment
Napoléon : C'est un rêve, ou alors c'est une blague
Georges : Non, c'est vrai ! Majesté
Napoléon : Alors, je vais réfléchir cette nuit.
Chapitre 5
Le lendemain (nous avions dormi sur le sable)
Napoléon réapparaît et nous déclare qu'il accepte notre proposition.
Napoléon : je suis d'accord de partir avec vous
" Yes "dit Hugo en chuchotant
Edgar : il faut partir le plus vite possible en barque
Georges : maintenant ?
Napoléon : Oui, dépêchez-vous car mes gardes reviennent
Nous nous cachâmes dans une fosse qui menait à une barque
Victor : Et nous voilà partis !
Napoléon : Le brouillard arrive
Alexandre : Profitons de ce mauvais temps pour filer à l'anglaise
Un garde frappa sur un cabanon en disant : " Mais, où est-il passé ?
Napoléon : Embarquons rapidement
Alexandre : Mais la barque va casser !
Georges : Rien ne va nous arriver
Hugo : Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Chapitre 6
La barque vacille à cause des vagues
La peur nous envahit ; Napoléon est craintif
Edgar : Ca y est, nous avons pu nous faufiler entre les anglais !
Napoléon : Vous êtes les sauveurs de la France
Alexandre : Je vous en prie
Hugo : Tais-toi, c'est l'Empereur
Georges : Majesté, combien de temps met-on pour aller à Paris ?
Napoléon : Une bonne journée
Victor : On a de la chance de ne pas être tombé dans les tranchées
Georges : j'ai faim, n'y a-t-il pas quelqu'un qui aurait des bonbons ?
Nous crièrent tous : " NON "
Napoléon : Nous y voilà !
Georges : A Paris !
Victor : je vais pouvoir aller me coucher
Edgar : Attendons que Napoléon nous dise au revoir mais que personne ne lui dise
Alexandre : Au revoir Majesté !
Hugo : je suis désolé, il ne pouvait pas se retenir
Napoléon : Au revoir à tous mes chers sauveurs.
Puis un tuyau nous emporta et chacun tomba sur un oreiller de mon lit
Ainsi se termine cette si belle histoire
Edgar : Allons nous coucher